Le salaire de la peur

Le salaire de la peur

de Georges Arnaud

Las Piedras, port d’échouage. Ils sont des centaines, venus d’on ne sait où oublier sous les tropiques l’impasse de leur existence.
Pour une poignée de dollars, ces sans-grade sont prêts à tout.
Prêts à affronter des kilomètres de pistes impraticables, au volant d’un camion délabré, pour convoyer de la nitroglycérine.
Au moindre écart, au moindre choc, c’est la mort.

Une épopée de l’angoisse pure…

Le film de Henri-Georges Clouzot a reçu le Grand Prix (équivalent de la Palme d’Or qui n’était pas encore créée à l’époque) du Festival de Cannes en 1953.