Dans cette nouvelle angoissante, écrite entre 1935 et 1940 et publiée de façon posthume entre 1987, on retrouve le style inimitable de Zweig et sa finesse dans l’analyse psychologique. Comme dans “Lettre d’une inconnue” ou “Le joueur d’échecs”, il dépeint avec virtuosité les conséquences funestes de l’obsession et de la démesure des sentiments.